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Nous n’avons fait que dire la réalité du droit pour l’instant, sans être catégorique. L’essentiel est déterminé par nos conditions de déplacement et il y a des ouvertures sur les professionnels bien sûr, sur la formation, sur les dérogations mais c’est à l’administration et non aux fédérations de le clarifier.
La FFPLUM prône pour un discours et une position d’une seule voix au sein du CNFAS.
Pour l’heure, chacun doit prendre ses responsabilités et l’époque catastrophique invite à la modestie car nous sommes tous touchés. Nous devons être solidaires de ceux qui souffrent vraiment.
Ce confinement n’est pas le premier, il sera certainement beaucoup plus dur à faire respecter avec des risques de fortes protestations (commerçant, nombre de dérogation etc..) en même temps la période est plus grave encore…
Merci à tous de votre patience et compréhension
La Fédération Française d'ULM
 
 

L’évolution de la situation sanitaire a contraint les autorités à mettre en place un nouveau confinement dont les modalités sont définies dans le décret N°2020-1310 du 29 octobre 2020 (ci-joint). Ce décret a un impact très fort sur les pratiques aéronautiques des différentes fédérations du CNFAS.

Ce sont principalement les conditions de déplacement qui déterminent ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas, sous réserve de dispositions particulières.

Les dérogations de déplacement dans le cadre de missions d’intérêt général qui avaient été mises en place lors du premier confinement pour certaines pratiques ne sont pas pour l’instant d’actualité. Le CNFAS verra avec les autorités ce qu’il est possible de faire avec pragmatisme et tolérance pour assurer l’entretien et la sécurité de nos installations, de même que la poursuite des formations et le passage des examens.

Dans ce contexte, tendu sur le plan sanitaire, et tragique sur le plan sécuritaire, il est important d’être solidaire de toute la chaine des professionnels concernés en n’ajoutant pas de la complexité inutile et en appelant chacun au sens des responsabilités et au bon sens.

Le premier confinement nous a enseigné qu’il pouvait y avoir des nuances et des ajustements en permanence, dès que nous aurons des précisions le CNFAS vous les communiquera.

 

Le CNFAS

  • 9 fédérations, 140 000 licenciés, 3 200 clubs, 24 000 aéronefs motorisés, 2 000 planeurs.
  • Associations d'utilité publique reconnues par les Ministères des Transports et des Sports, les Fédérations proposent bénévolement aux jeunes de notre pays un idéal, une formation aéronautique, un cadre de vie passionnant et rigoureux, et surtout un avenir professionnel.
  • Les Fédérations jouent un rôle très important dans la place de la France dans le monde aéronautique : réussite dans les compétitions sportives, encadrement des jeunes dans des activités aéronautiques, formation de pilotes, formation des ingénieurs et techniciens, innovation par la construction amateur, sauvegarde du patrimoine volant.

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 Lire les précisions sur le communiqué apportées par la Fédération

Le lundi 26 octobre 2020, le mouvement sportif français a adressé une lettre ouverte au Président de la République, intitulée "SOS : SPORT EN DETRESSE", co-signée par 95 fédérations sportives. Retrouvez ci-dessous le contenu intégral.

LETTRE OUVERTE DU MOUVEMENT SPORTIF FRANÇAIS AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE...

Monsieur le Président de la République,

Les acteurs associatifs, bénévoles, éducateurs sportifs, dirigeants de clubs et de fédérations, ne sont pas parmi les adeptes des coups d’éclat. Ils préfèrent s’impliquer pour qu’au quotidien se dispense le respect de la règle, des autres et de soi. C’est donc le cœur lourd mais las, qu’en tant que représentants du Mouvement sportif français dans sa diversité, nous nous adressons ouvertement à vous aujourd’hui car nous sommes désemparés.

Désemparés de constater que le secteur du sport fédéré, fort de son modèle social et économique unique, porteur de valeurs essentielles au tissu social républicain, ne compte visiblement pas dans les priorités d’action de notre pays en temps de crise. Il garantit pourtant l’accès à la pratique sportive au plus grand nombre en même temps qu’il permet la détection et l’éclosion de talents issus de tous les milieux.

Depuis plusieurs mois, nous faisons tout notre possible pour nous adapter aux aléas et aux multiples applications divergentes et parfois contradictoires de la doctrine sanitaire sur le terrain. Nous avons établi les protocoles sanitaires les plus exigeants, validés par les Ministères tant des Sports que de la Santé ainsi que par le Haut Conseil de la Santé Publique et la Cellule interministérielle de crise. Nous les avons sans cesse améliorés pour tenir compte de la circulation accrue du virus. Nous les avons scrupuleusement mis en œuvre avec la force de l’engagement qui caractérise nos 3 millions de bénévoles et les professionnels qui les accompagnent, au premier rang desquels figurent nos « Covid-managers » présents dans chaque fédération et dans la plupart des clubs.

Malgré ces efforts, nos compétitions et manifestations programmées ou reprogrammées sont annulées, souvent à la dernière minute et en raison d’une application excessive et injustifiée des mesures sanitaires par les autorités locales. Nos activités sont à l’arrêt dans de nombreux territoires, y compris des zones vertes non soumises au couvre-feu. Les décisions très disparates des Préfectures et des ARS, à situations similaires, tuent le sport à petit feu. Nous déplorons déjà plus d’un quart d’adhésions en moins, au point que de nombreux clubs se demandent aujourd’hui s’ils pourront passer l’année car plus de 80% d’entre eux, seulement animés par des bénévoles, piliers du sport amateur, restent encore aujourd’hui exclus des dispositifs d’aides prévus au plan de soutien piloté par le Ministère de l’Économie.

Nous sommes désemparés aussi car, faut-il encore le rappeler, pratiquer un sport est bon pour la santé et permet de mieux résister face à l’épidémie ! La hausse de l’inactivité touche bien évidemment encore plus durement les populations déjà fragiles ; nous ne pouvons que craindre, impuissants, ses conséquences encore plus désastreuses pour la santé publique de demain. Vous comprendrez donc l’incompréhension qui est la nôtre de subir une stigmatisation aussi violente qu’infondée, car non étayée par des éléments objectifs. Comment comprendre et expliquer pourquoi d’autres activités demeurent permises, y compris dans les zones les plus touchées par l’épidémie, mais pas la pratique du sport dans des zones pourtant plus préservées ?

Nous mesurons pleinement l’ampleur de la crise que notre pays traverse et ne souhaitons pas opposer les secteurs d’activités les uns aux autres. Nous constatons pourtant, avec amertume, l’absence de prise en compte des spécificités de notre secteur par un dispositif d’accompagnement approprié. Budgétairement, nous déplorons que les quelques euros promis par-ci nous soient repris par-là, dans des tours de passe-passe indignes et humiliants.
Nous vous adressons aujourd’hui ce SOS, Monsieur le Président, afin que nous retrouvions la considération que nous pouvons espérer et l’accompagnement que nous pensons mériter.

Alors que se prépare l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, il nous semble que la priorité doit être de préserver nos capacités à nous tourner collectivement vers l’avenir. Comme vous l’avez indiqué, notre société va devoir vivre avec le virus. Nous devons donc vivre avec lui tant qu’il n’aura pas été vaincu mais nous ne voulons pas disparaître avant lui.

Comptant sur votre compréhension et votre soutien, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre très haute considération.

Le Mouvement sportif français

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Les accidents donnent toujours lieu à des articles dans la presse régionale ou nationale que nous lisons tous essentiellement sous format électronique. Depuis 2015, le Bureau Enquête Analyse (BEA) enquête systématiquement sur les accidents mortels et publie ses enquêtes en moins d’un an. La Gendarmerie des Transports Aériens intervient sur le volet judiciaire. La Fédération est en contact avec le BEA et la GTA de manière quotidienne en lien avec la DGAC.

Les prises de parole publiques intempestives des uns et des autres aussi légitimes soient-elles, apportent rarement la sérénité pour les familles des victimes et de l’efficacité pour l’enquête. On ne peut pas tirer d’un événement une généralité. C’est sur le temps long que la sécurité des vols est pertinente. Une intervention maladroite, un titre accrocheur peuvent ruiner le long travail des instructeurs et des clubs au niveau local.

La Fédération réagit systématiquement par des droits de réponse lorsqu’un média colporte des informations inexactes ou inappropriées comme ce fut le cas récemment avec l’édition de la Nouvelle-République ou du Midi-Libre dans deux accidents mortels. La très grande volatilité de l’opinion, l’affaiblissement des médias de qualité avec des journalistes spécialisés, la tentation narcissique de dire tout sur tout et sans filtre accentuent une tendance qui n’est pas constructive.

Nous devons tous faire un effort pour répliquer à bon escient sans rien cacher mais en respectant le rythme nécessaire à la douleur d’une part, au retour d’expérience d’autre part.

 

Sébastien Perrot

Président de la Fédération Française d'ULM

Il y avait plus de 500 personnes (dans le respect des distanciations sociales) lundi 19 octobre pour le magnifique hommage religieux, aérien et amical rendu à Silvio Vio sur le tarmac de l’aérodrome de Châtellerault. Ceux qui étaient présents se rappelleront longtemps de la dignité et de la chaleur de cette cérémonie, à l’image de sa famille, de sa femme Véronique, de ses enfants Aurélie et César.

Depuis 15 ans, Silvio était un acteur charismatique de notre milieu. Il réunissait des qualités remarquables : la joie de vivre et l’amour des gens, la passion d’entreprendre et le courage, un goût de la liberté et du partage, une très grande rigueur et un professionnalisme reconnu de tous. Sur le Tour ULM, à Blois, au Bourget, avec les jeunes et en de nombreuses occasions, Silvio était un inlassable ambassadeur de l’ULM. La Fédération lui doit beaucoup.

Les circonstances de ce tragique accident qui a fait 5 victimes seront connues à l’issue de l’enquête du BEA. En parallèle de cet accident, il est probable que les évolutions de la technologie nous permettront certainement de mettre en œuvre des dispositifs anticollision non certifiés, non obligatoires mais incitatifs, compatibles avec d’autres systèmes à l’image de ce qu’utilisent les planeurs depuis 2009 avec succès. Nous devons explorer cette voie, en lien avec le CNFAS et les autorités.

 

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Sébastien Perrot

Président de la FFPLUM

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