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Une nouvelle rentrée pour la classe ISAS au lycée Jean-Jacques Henner

Les équipes se succèdent mais les institutions restent ; Mme Marie-Chritine Bosswingel, proviseure du lycée Jean Jacques Henner ayant pris une retraite amplement méritée a cédé la place à M. Patrice Schelcher qui a d'emblée pris à cœur de poursuivre la section ISAS mise en place avec maestria par son prédécesseur lors de l'année scolaire 2022-2023.

 

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C'est une année scolaire riche en réussites et en découvertes qui s'est achevée début juillet 2023 par la remise des diplomes du BIA au traditionnel repas de fin d'année chez Aviatik CAP Alsace. Au menu des festivités, paëlla géante, tombolas avec comme lots de nombreux vols découvertes sur Savannah S et Piper PA28 qui ont été effectués le soir même ; spectacle garanti pour les nombreuses familles des lauréats mais également des nouveaux élèves de cette section Initiation aux Sciences Aéronautiques et Spatiales venus en nombre pour découvrir l'aéroclub et échanger avec les anciens élèves. Ils ont ainsi pu apprendre que deux de nos lauréats, sélectionnés sur dossiers, passaient leurs derniers jours en Alsace avant d'intégrer dès le mois d'août l'Ecole d'Enseignement Technique de l'armée de l'Air et de l'Espace (EETAE 722) de Saintes.

 

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Et c'est une classe de seconde ISAS forte de 31 élèves qui a fait sa rentrée au mois de septembre ; leur motivation chevillée au corps afin d'assimiler les trois heures hebdomadaires supplémentaires de mathématiques (Mme Miolin) et de physique (M.Martin), ainsi que les deux heures de BIA par semaine. Une solide motivation qui s'est confirmée en voyant leur enthousiasme à revenir, après une longue semaine, un samedi après-midi afin de suivre un cours sur les aéronefs du club et sur la carte VAC. Un véritable jeu de piste qui les a tenu deux heures en haleine, entre les éléments de la cellule, du moteur, les instruments de bords et le petit quizz sur la carte VAC. A la vue des appareils du club, une alchimie s'est rapidement créée et certains élèves ont rapidement été pris d'une irrésistible envie d'aller dans les airs. Et ce n'est pas plus tard que le lendemain que deux de nos élèves ont pu étudier les aéronefs en action en survolant le Sundgau et leur lycée à bord du Savannah S du club. Une expérience dont leurs visages radieux rendent mieux compte que n'importe quelle description ; même si les mots très justes d'une de ces élèves me semblent à même de saisir la sensation magique du vol : « C'est hypnotisant ».

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Texte et Photos @Jean PINTA

 

 

  • Vie des clubs 

Construction amateur ULM

 

Pour vous accompagner dans la construction et la maintenance de vos machines.

 

 L’ULMiste est, par définition, un pratiquant de l’aviation de loisir qui parfois construit, mais toujours entretient sa machine et la restaure lorsque le moment est venu.

Pour vous donner une idée du dynamisme de notre pratique, sachez que l’on compte à peu près 3 000 ULM de construction amateur de tous types, dont environ 1 800 trois axes.

C’est donc tout naturellement qu’en janvier 2022, notre Comité Directeur a décidé, à l’unanimité, de reconnaître comme une pratique cette discipline qui consiste à construire pour voler. Cette compétence a été confiée au Pôle ‘’Vie des clubs’’.

C’est à Blois, en 2023, que nous avons posé, grâce au dynamisme de Thomas Joron, la première pierre de cet édifice qui vient renforcer notre Fédération. Nous avons réuni, au sein du village ‘’Rétro-Construction amateur’’, les pratiquants amoureux de nos chers tube et toile, ainsi que trois concepteurs d’ULM : Daniel Dalby, Serge Pennec et votre serviteur. Les projets pour 2024 sont plus ambitieux puisque chaque concepteur d’ULM pourra présenter ses appareils au sein du village, et vous proposera une conférence dédiée à ses créations. Vous pourrez les interroger, et choisir votre machine en ayant entendu leurs créateurs.

Cette nouvelle compétence du Pôle Vie des clubs a pour but d’aider les licenciés dans leurs actions de conception, construction, entretien et maintenance de leur cellule et de leur moteur. Nous pourrons désormais vous accompagner, pour renforcer notre pratique de l’aviation de loisir, qui doit préserver son avenir dans un environnement qui se complexifie.

L’objectif est de contribuer au dynamisme de notre pratique en vous accompagnant pour la construction, la restauration et l’entretien de vos machines.  En outre, cette action pourrait favoriser l’émergence d’un marché français de l’ULM et de la pratique des jeunes dans les clubs, si nous pouvons créer un monotype fédéral, dont le coût d’exploitation serait le plus faible possible ; cet appareil pourrait être construit sur plans diffusés par la FFPLUM, ou en kit par des clubs, à l’image de ce qui s’est fait dans les années 90 avec le PIAF (Programme d’initiation Aéronautique Fédéral) et fameux Skyranger du regretté Philippe Prévot.

Si les mots sont utiles, nous avons conscience que vous avez besoin de concret ; voici donc ce que nous vous proposerons à partir de 2024 ; deux types d’actions vous seront proposées : une formation d’aide à la conception, construction et restauration de vos machines, et une autre dédiée à l’entretien, la maintenance et l’évaluation de vos appareils.

 

Initiation pratique à la conception

Au-delà même de la conception d’une machine qui demande un minimum d’expérience et de connaissances, ce stage vous aidera à comprendre les phénomènes aérodynamiques qui régissent le vol, et vous permettra d’aborder les bases de la résistance des matériaux.

Séraphin Rémy, jeune ingénieur en structures aéronautiques ou moi-même ferons découvrir ces disciplines, simplement. Abaques et calculs simples vous permettront de comprendre certains phénomènes, et vous aideront, lorsque vous serez en l’air, à appréhender votre environnement machine, renforçant ainsi la sécurité de vos vols par la bonne compréhension des ‘’lois’’ qui le régissent.

 

Pratiques liées à la construction et à la restauration.

Au cours de ces rencontres, vous découvrirez les bonnes pratiques en construisant ou en restaurant une pièce significative de votre appareil tout en découvrant le travail de certains matériaux. Pour répondre précisément à vos attentes, ces formations pourront se dérouler dans votre club, au siège de la Fédération ou à Blois.

Michele Goussay pour l’entoilage et moi pour les cellules sommes d’ores et déjà à votre disposition.

 

Entretien et maintenance moteurs

 Les formations et les stages sont en fin d'élaboration et nous allons prochainement voir les premiers stages se dérouler en régions mais toutes les informations vous seront communiquées en temps utile.

Voici pour les actions d’accompagnement prévues à ce jour. Profitons de ces quelques lignes pour encourager ceux qui ont des compétences particulières à nous le faire savoir, ils nous aideront à proposer une offre de formation qui je n’en doute pas s’étoffera avec un peu de temps.

 

Des actions de formation comme outils de développement

Ces actions ont pour but de renforcer votre sécurité par l’enseignement des bonnes pratiques en matière de construction, d’entretien et de maintenance de vos appareils. Ces actions, qui seront mises en place dès que possible, sont bien sûr ouvertes à tous les licenciés ; constructeurs, clubs ou propriétaires, désireux de se former à la maintenance et à l’entretien des machines.

Par la mise en place de cette nouvelle activité, notre Fédération vous apporte de nouveaux services, visant à rendre notre pratique abordable par le plus grand nombre.

Désormais, notre passion, construire pour voler, est reconnue comme une discipline à part entière par notre Fédération.

 

Pour mieux vous représenter, nous vous invitons, dès maintenant, à vous faire connaître, à cette adresse :  

 https://framaforms.org/constructeur-amateur-ulm-1697468122

 

 

 Racontez-nous votre histoire, parlez-nous de votre passion de constructeur, vos récits pourront paraître dans la revue fédérale. Dites-nous ce que vous construisez, faites-nous part de vos difficultés !

En bref, la Fédé souhaite vous aider si besoin, et vous accompagner dans la réalisation de vos projets.

D. Marie /Commission Vie des Clubs/Construction amateur

 

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Aile dULM Bois et toile faite en stage

drive de Gazaile

Fuselage de biplace

 

 

 

Rédacteurs : D. Marie /Commission Vie des Clubs / Construction amateur

 

Le Flying Ohm est un projet de paramoteur électrique ''open source'' conçu et réalisé par Matthieu Boisson et Sébastien Gosse.

Ces deux amis sont convaincus que l'avenir du vol en Ultra Léger Motorisé passera par l'utilisation de technologie moins polluante et plus silencieuse. Au-delà du fait que voler en électrique n’émet pas de gaz à effet de serre, la nuisance sonore générée par cette activité est un sujet qui devient de plus en plus brûlant. Sur ce point, le paramoteur électrique est clairement une solution d’avenir. La différence en vol en palier est énorme et va clairement en faveur de l’électrique dont seul le bruit de l’hélice est perceptible à faible distance.

Ce constat étant posé et afin de pérenniser leur activité de paramotoriste dans les années à venir, ils se sont lancé le défi de concevoir un paramoteur électrique fiable et accessible financièrement.

Leur volonté est d'offrir l'accès au vol en paramoteur électrique au plus grand nombre.

Dans ce but, ils ont décidé de partager l'open source et toutes les informations du Flying Ohm, tests, articles, vidéos techniques et plans sur leur site www.flying-ohm.com

 

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Au-delà d'être un autre paramoteur électrique, le Flying Ohm est avant tout et surtout un kit d’électrification de paramoteur thermique. Depuis le début, toute la partie électrique a été conçue afin de pouvoir s’installer facilement sur un maximum de châssis de paramoteurs.

L'objectif du kit Flying Ohm est d’allier une démarche écologique en permettant aux personnes souhaitant passer à l'électrique de garder leur châssis et sellette provenant de leur moteur thermique tout en réalisant d’importantes économies.

En plus du site internet, le projet Flying Ohm est également présent sur Youtube, Facebook et Instagram. N’hésitez pas à les suivre pour rester informé des dernières actualités et photos.

Si le projet vous intéresse et que vous souhaitez échanger avec Sébastien ou Matthieu, n’hésitez pas à les contacter via le site internet ou les réseaux sociaux, ils seront ravis de vous répondre.

 

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  • La commission Vie des clubs/ Construction amateur

 

 

L’équipe fédérale est hélas amenée à vous adresser cette lettre de sécurité sans attendre.

En effet, plusieurs accidents mortels récents et facilement évitables viennent à nouveau alourdir le bilan sécurité des vols.

Notre activité favorite, le pilotage d’aéronefs ultralégers motorisés est une activité récréative et de loisir. Cette activité est extrêmement exigeante du point de vue de la formation, de l’entraînement et du maintien des connaissances. C’est la seule manière de garantir un haut niveau de sécurité des vols lorsqu’on la pratique.

Cependant et sans préjuger de l'ensemble des circonstances qui ont conduit aux derniers accidents les plus graves, nous sommes obligés de constater plusieurs indices extrêmement préoccupants au regard de la rigueur comportementale :

  • Un vol en soirée, aux limites de la nuit aéronautique, voire probablement après la fin du crépuscule.
  • Les vols en dessous des hauteurs minimales autorisées et ayant entraîné une percussion avec une ligne électrique.

 

LE RESPECT DES RÈGLES :
  • Par exemple, les 30 minutes après le coucher du soleil constituent la limite légale du vol de jour. Et à cette saison où la brume peut tarder à se lever, où le vent s'il y en a, tarde à tomber et où le soleil se couche tôt, il est parfois tentant d'attendre le soir pour essayer de profiter des derniers rayons.

Mais est-ce que le respect, même strict, de cette limite légale, suffit à assurer la sécurité du pilote ? Certainement pas.

Il faut tout d'abord garder à l'esprit le piège classique du petit vol du soir. Il peut faire encore assez jour pour se sentir à son aise, alors que l’obscurité s'est déjà installée au sol. La différence n'est que de quelques minutes, mais elle suffit pour donner une sensation d'entrée dans le noir à la descente.

Ainsi quand le soleil est déjà bas sur l'horizon longtemps avant le crépuscule, le sol que l'on survole est rapidement obscurci par les ombres qui s'allongent et la nuit qui s’installe.

Dans le même temps, le soleil peut être très éblouissant à la hauteur de vol puisque son disque se trouve à peu près à hauteur du regard, ce qui empêche le pilote de percevoir un éventuel obstacle ou d’apprécier sa hauteur par rapport au sol.

En outre, plus on est haut, plus l'horizon est loin, de sorte que le soleil sera encore visible en vol alors qu'il sera passé derrière, vu depuis le sol. De toute façon, la limite technique du vol à vue de jour peut être bien en deçà des 30 minutes, surtout en période automnale et hivernale, même en conditions météo idéales.

Un pilote en conscience de la situation doit se poser et répondre à la question « si j'étais en voiture en dessous, est-ce que j'allumerais mes phares ? ». Si la réponse est « oui, peut-être », je ne devrais déjà plus être en l'air.

 

  • Autre exemple, les règles de survol, pour la protection des personnes et des biens.

La règlementation précise que sauf pour les besoins du décollage et de l'atterrissage, les aéronefs ne volent pas au-dessous du niveau minimal :

  • À une hauteur inférieure à 150 m (500 ft) au-dessus du sol ou de l'eau.
  • Au-dessus des zones à forte densité des villes ou autres agglomérations ou de rassemblements de personnes en plein air à moins de 300 m (1 000 ft) au-dessus de l'obstacle le plus élevé situé dans un rayon de 600 m autour de l'aéronef, toutefois, les planeurs effectuant des vols de pente ainsi que les ballons et les PUL (planeurs ultralégers) peuvent faire exception à cette règle sous réserve de n'entraîner aucun risque pour les personnes ou les biens à la surface.

    - Dans le cadre d'un vol d'instruction, cette hauteur est ramenée à 50 m (150 ft) pour les entraînements aux atterrissages forcés, la présence d’un IULM à bord à jour de sa qualification étant obligatoire, pour ce genre d’exercice.
  • Au-dessous du niveau minimal fixé par arrêté pour le survol des villes ou autres agglomérations, ou des rassemblements de personnes ou d'animaux en plein air, ainsi que le survol de certaines installations ou établissements.

Dans tous les cas les aéronefs doivent voler à une hauteur suffisante permettant, en cas d'urgence, lors du survol des villes ou autres agglomérations d'atterrir sans mettre indûment en danger les personnes ou les biens à la surface en respectant le principe du cône de sécurité.

Pour préserver et sauvegarder notre liberté, gardons en tête que le principe de base du mouvement ULM est bien de laisser à chaque pilote, la responsabilité de la gestion de sa sécurité.

Dans notre pratique de l’aviation ultra légère de loisir et sportive, il y a des règles d’or à respecter.  

Ces règles sont issues, souvent, de l'expérience acquise par les uns et les autres au fil du temps (REX).

Nous ne cesserons jamais de vous rappeler l'intérêt de cultiver à la fois ses compétences techniques et non techniques.

Face à ces exemples, chacun jugera de la façon dont le vol en ULM peut s'exercer.

Un ULMiste sérieux est un pilote qui s'attache à décoller en mettant pendant son vol "toutes les chances" de son côté pour se reposer en toute sécurité !!!

Continuons à profiter de ces belles journées de fin de saison, continuez à prendre du plaisir à survoler nos

belles régions dans nos belles machines ultralégères, en toute sécurité.

 

 Rapprochez-vous de votre instructeur pour toutes questions ou interrogations.

 

La sécurité est l’affaire de tous et de chacun

 

Bons vols et soyez AIRMANSHIP !!!!

 

Document utiles
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Quelques rappels règlementaires en réponse à de fréquents questionnements sur l’usage de terrains ULM occasionnels

L’arrêté du 13 mars 1986 fixant les conditions dans lesquelles les ULM peuvent atterrir et décoller ailleurs que sur un aérodrome[1] stipule qu’un terrain peut être permanent (un arrêté préfectoral en fixe les conditions d’utilisation) ou occasionnel.

Qu’est-ce qu’un terrain « occasionnel » ? 

Il n’existe pas de définition d’un terrain ULM « occasionnel ». Cette notion pose parfois des difficultés d’application tant pour les demandeurs qui ne peuvent pas aisément savoir si leur activité est qualifiée d’occasionnelle, que pour les services de l’État. Un critère de mouvements, figurant déjà dans l’arrêté du 6 mai 1995 relatif aux hélicoptères, avait été introduit dans un projet de règlementation pour les ULM afin de permettre au demandeur de savoir clairement à quel dispositif il émarge, mais ce projet n’a pas été publié.

Outre les obligations communes à tous les terrains ULM (terrain situé hors agglomération, hors du périmètre de sécurité d’une installation prioritaire de Défense et à distance d’un aérodrome), l’arrêté du 13 mars 1986 stipule qu’il faut avoir l’accord préalable de la personne ayant la jouissance du terrain et faire l’objet d’une déclaration préalable auprès du maire de la commune concernée pour pouvoir utiliser une plateforme occasionnelle.

Occasionnel : Qui ne se produit que par hasard ou de temps en temps, de manière irrégulière, par opposition à « habituel ».

Un terrain occasionnel se caractérise par un nombre de mouvements faible, utilisé uniquement pour des vols de loisirs privés (pas de vols de découverte rémunérés puisque, selon l’arrêté de 1998, l’exploitation d’un ULM ne peut se faire qu’à partir de plateformes permanentes). La présence d’un hangar ou d’une manche à air n’est pas incompatible avec le statut de terrain occasionnel, c’est la fréquence de l’activité qui caractérise le caractère occasionnel.

En l’absence d’autres précisions réglementaires spécifiques aux ULM, on entend généralement qu’un terrain occasionnel ne peut accueillir plus de 200 mouvements par an et 20 mouvements par jour (un atterrissage et un décollage constituant deux mouvements), mais ces limitations qui s’appliquent aux hélicoptères (certifiés) ne figurent pas dans l’arrêté de 1986. Une utilisation périodique ne peut donc pas être un critère pour imposer que le terrain devienne permanent et fasse l’objet d’un arrêté préfectoral.

Un point à prendre en compte est la présence d’habitations et les nuisances qui peuvent résulter de l’activité. Le préfet peut interdire l’utilisation d’un terrain occasionnel lorsqu'il en résulte des nuisances phoniques ayant porté une atteinte grave à la tranquillité du voisinage, notamment à la demande de personnes ayant la jouissance de lieux d'habitation situés à moins de 150 mètres d'un terrain, comme pour les hélisurfaces.

Le respect du voisinage est donc l’obligation à respecter impérativement pour une utilisation sans problème d’un terrain occasionnel.

[1] Au vu de l’intitulé de cet arrêté, vous noterez que les terrains ULM ne sont pas considérés comme des aérodromes, échappant ainsi aux nombreuses normes instaurées par l’EASA pour garantir la sécurité. En conséquence, leur utilisation relève de la seule responsabilité du pilote.

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